La Première ministre Rose Christiane OSSOUKA RAPONDA a représenté Ali BONGO lors de l’ouverture officielle de la quinzième session de la Conférence des Parties (COP15) de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification.
Le sommet d’Abidjan a été l’occasion pour OSSOUKA RAPONDA de présenter plus avant aux chefs d’État et de gouvernement, la contribution du Gabon à la stratégie de restauration des terres dégradées et son impact sur l’atténuation des effets néfastes provoqués par les sécheresses en conséquence du dérèglement climatique.
Prenant la parole au nom d’Ali Bongo, la Première ministre a rappelé l’engagement du Gabon dans la préservation de l’écosystémique du Bassin du Congo dont la perte « provoquerait des centaines de millions de réfugiés climatiques, avec un effet dévastateur sur la paix, la sécurité et la stabilité en Afrique ».
Au cours de cette rencontre, les chefs d’État et de Gouvernement ont lancé « l’Appel d’Abidjan » qui réaffirme l’engagement des parties envers le programme de développement durable à l’horizon 2030, s’agissant notamment de la neutralité en matière de dégradation des terres.
En marge de cet événement, Rose Christiane OSSOUKA RAPONDA a été reçue en audience par le président de la République de Côte d’Ivoire, ALASSANE OUATTARA à qui elle a transmis un message personnel de son homologue et frère Ali BONGO.
Pour rappel, le Gabon fait partie, depuis le 6 septembre 1996, des 197 États membres de la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification.
Auteur : Gabon Matin